lundi 27 février 2012

Non au pseudo Parlement juif européen !


Actualité Juive s’est fait écho dans son dernier numéro de l’inauguration du premier Parlement juif européen, le 16 février, à Bruxelles. La présentation faîte de ce nouvel organe, par votre journal, occulte les nombreuses irrégularités qui ont entaché grandement l’élection des cent vingt députés et surtout sa crédibilité. Un article très sérieux du Jérusalem Post (version anglaise), en date du 26 octobre, dénonce le processus électoral très douteux mis en place par les dirigeants de ce parlement. Une profusion de candidatures « comiques » tels Sacha Baron Cohen alias Borat, le footballeur David Beckham, Stella McCartney, Roman Polanski, les Grands rabbins Bernheim et Sitruk, Simone Veil, Charlotte Gainsbourg, Enrico Macias, Alain Finkelkraut, BHL, Sonia Rykiel, Alber Elbaz, Anne St Clair, DSK, ou encore Constantin von Hoffmeister, membre éminent du parti néo-nazi allemand NPD, et Dieudonné M’bala M’bala etc…qui, bien entendu, ne se sont jamais portés candidat à cette élection. Des candidatures farfelues proposées par les internautes eux-mêmes, qui ont pu voter plusieurs fois d’affilées, pour le même candidat. Aucun contrôle préalable des candidatures, aucun contrôle de l’identité des électeurs, aucun système informatique pour verrouiller un vote seulement par votant. Pire que ces irrégularités, il est à signaler l’absence totale au préalable de cette élection, de propositions des différents candidats ou de débats entre eux. Une conception contraire aux normes démocratiques élémentaires mais surtout à nos valeurs juives ancestrales, les mêmes qui ont profondément influencé les représentants des organisations sionistes lors du premier congrès de Bâle. Les participants étaient des délégués élus des communautés juives de toute l’Europe. Ce congrès fournissait une tribune ouverte à toute une gamme d’opinions et fonctionnait sur la base d’élections libres, instaurant déjà la tradition du processus politique démocratique et du débat parlementaire. Or, ce n’est visiblement pas le cas de ce Parlement juif européen. Il est donc du devoir moral et de la responsabilité des députés élus, en particulier de nos élus juifs de France, pour sauver l’honneur de ce Parlement de démissionner et d’appeler à la convocation de nouvelles élections avant la rédaction, l’examen et le vote de sa Constitution. Mesdames, Messieurs, entendrez-vous ce légitime appel ?

M. Yohann TAIEB

mardi 7 février 2012

Soutenons plus que jamais le KKL !


Depuis plus d'un an, une intense campagne de boycott menée par le collectif d'organisations anti-israéliennes, le BDS, vise le Keren Kayemeth Léisraël, ces derniers jours ce collectif via sa branche française a tenté d'empecher plusieurs événements du KKL.


CYBERZION dénonce ces méthodes extrémistes, nous pensons que la meilleure réponse à leur donner, n'est pas de leur accorder de tribune devant les tribunaux mais d'agir efficacement, en vous appellant à soutenir tous les projets du KKL en apportant votre contribution selon vos moyens :


Le KKL de France a pour mission essentielle de collecter des fonds en France en vue de réaliser des projets concrets en Israël (plantation de forêts, construction de réservoirs d’eau, d’aires de jeux ou de repos, de routes de sécurité, d’infrastructures diverses…).



Grâce à son action quotidienne en faveur de l’éducation sioniste, il entend également sensibiliser les jeunes Juifs de France à l’amour d’Israël et à la défense de l’environnement.


Un seul geste : Donnez ! http://www.kkl.fr/plantez-un-arbre.html

jeudi 2 février 2012

Notre action contre S. Hessel salué par Maître Goldnadel dans son dernier livre " Le Vieil homme m'indigne ! "


Le vieil homme m'indigne ! : Les postures et impostures de Stéphane Hessel...




Présentation de l'éditeur



Pour dénoncer "l'imposture hesselienne", l'avocat se fait procureur. Dans un réquisitoire implacable mais objectivement documenté, Gilles-William Goldnadel dévoile les mensonges et les postures de l'auteur d'un best-seller planétaire dont il pointe l'exceptionnelle indigence. Mais plus encore, ce sont ceux qui, par idéologie ou conformisme, ont favorisé le succès du "petit livre jaune" que l'essayiste épingle. Un remède contre le travestissement et l'embrigadement de la pensée.



La plume sans le masque

         « En réalité, si nous vivions dans un monde un peu plus honnête, ce présent livre, dérisoire au regard du bombardement médiatique à neutrons dont a bénéficié le faux livre faussement indigné, serait inutile.
         Mes explications laborieuses, mon argumentation pathétique au regard du pathos émotionnel mensonger contre lequel je ne peux pas grand-chose seraient proprement inutiles.
         Un jeune inconnu, même pas indigné, a en effet réussi à montrer le vrai visage de l’auteur sanctifié infiniment plus efficacement que moi.
Avec une simple webcam, Y. Taieb s’est contenté de questionner inopinément le vieux monsieur formidable venu vendre encore quelques centaines d’exemplaires lors du dernier Salon du livre de Paris.
         Tous les sceptiques qui douteraient des propos qui vont suivre peuvent visionner sur la Toile cette interview qui aurait fait le buzz, comme on dit, s’il ne s’était pas agi de qui vous savez.


         Le jeune blogger pose des questions gentiment, poliment, calmement, courtoisement. Il n’y met aucune pointe d’ironie ni aucun soupçon de causticité. Il se contente de porter une légère contradiction à l’ancêtre suprême concernant sa « principale indignation ».
         Soudain, le masque tombe ! Le saint laïc, redevenu simple pécheur acariâtre s’emporte. Mieux, ou pire encore, il houspille et cogne son interlocuteur pacifique, en reconnaissant, lui, le chantre du dialogue, détester être contredit.
         Puis lorsque le contradicteur lui fait remarquer, un peu étonné, son comportement, la nature non naturelle de l’illustre, prenant conscience du mésusage qui pourrait être fait de ce document trop authentique, reprend enfin ses droits.
         Le masque tombé un temps à terre est prestement ramassé avec la souplesse d’un séduisant danseur. Il y est toujours dessiné un très gentil sourire. »




Biographie de l'auteur



Gilles-William Goldnadel, grand avocat pénaliste aux prises de position contestataires, est président d'Avocats sans frontières. Il a notamment publié Réflexions sur la question blanche et Conversation sur les sujets qui fâchent (avec Alexandre Adler) aux mêmes éditions.